| | Le mur du poète | |
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+4Klira Vindilis-ror ToXiCiTy, le renouveau Gouverneur Feyd-Laun 8 participants | Auteur | Message |
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Gouverneur Feyd-Laun Prime Sénateur
Nombre de messages : 1127 Empire : Aeria Date d'inscription : 12/03/2005
| Sujet: Le mur du poète Sam 12 Mar - 2:50 | |
| Innocence, tel aurait dû être son nom. Killiak était le fils adoptif de BaD mAx, et il n'était pas du tout comme son père, lui était bon, et plein de rêves plus beaux les uns que les autres. Il était à peine âgé de onze petites années que son rêve était de trouver celle qu'il aimerait toute sa vie. Killiak avait toujours été un garçon intelligeant, et il était passioné par l'écriture de poèmes. Les mots sortaient de son esprit tels des vagues de la mer lors d'une tempête.
L'enfant avait entendu parlé de ce mur, mais ne réussit jamais à en trouver l'endroit, il décida donc de créer le sien. L'idée d'exposer ses oeuvres au public l'enchentait plus que tout, et son bonheur avait encore été accru quand son père adoptif lui avait donné le feu vert pour la construction de cet endroit.
Le lieu se situait non loin du sénat, dans un parc verdoyant, un endroit beau et calme. Au milieu de l'herbe, se tenait simplement un grand écran bleuté qui crépitait à certains endroits sous l'effet du vent. Autour étaient disposés quelques sièges, bien confortables, et le tout était protégé par une bulle sphérique, d'environ cinquante mètres de diamètre. Le garçon n'avait pas vu les choses en grand...
Peu de monde s'interressaient réellement à la poésie, mais ces quelques personnes méritaient de pouvoir partager leur art avec quelqu'un qui s'y interressait aussi. Killiak s'était placé devant l'écran, une feuille de papier devant lui, il commença à réciter son premier poème :
Ce poème s'intitule Tout pour toi, je l'ai écrit en pensant à une amie, j'espère qu'il vous plairait .
Au fur et à mesure que l'enfant parlait, ses mots étaient retranscrits sur l'écran, derrière lui, de sorte à ce que même ceux qui n'étaient pas présents lors de la lecture puissent lire.
Je t'ai donné quelque chose de sacré, Je t'ai donné mon amour, et mon âme souillée , Tu l'as acceptée, ma joie avait montré ta bonté, Mais maintenant, juste après, tu me dis d'oublier.
Comment veux tu que ce soit fait ? Je ne veux oublier celle à qui j'ai confié Cette chose si précieuse qu'est ma virginité.
A présent, un coeur brisé, une âme en peine, J'hurle à l'agonie, telle une douce haine, Je n'ai qu'une chose à ajouter, je t'aime.
Que veux tu à présent ? Penser à toi ? C'est ce que je désire, moi. Je veux que tu vives pour toi l'espace d'un instant.
Ne t'occupes pas de mes douleurs, Mais annonce moi la couleur, Que dois je faire, attendre ? Oui, c'est ce que je veux, t'attendre.
Avait il fait bonne impression ? Peut être, il l'espèrait, et attendait de nouvelles personnes... | |
| | | ToXiCiTy, le renouveau Empereur
Nombre de messages : 217 Date d'inscription : 11/03/2005
| Sujet: Re: Le mur du poète Sam 12 Mar - 21:01 | |
| ToXiCiTy avait attentivement écouté l'annonce de Killiak, et il fut étonné qu'un homme tel que lui quitte son attitude normale pour se dévoiler ... Et dévoiler ses souffrances, ses peines, ses faiblesses ... ToXiCiTy alors eu une illumination, pourquoi ne pas répondre à ce cher Killiak qui a eu le courage ? Le spectre s'avança donc, d'un air haineux et s'adressa a toute l'assistance, mais dans son esprit c'est à tous les empereurs qu'il s'adressait :
Je suis venu malade et vous m'avez détesté J'ai essayé de comprendre et les moqueries j'ai enduré N'écoutant que mon idiotie j'ai voulu m'incliner Mais mon honneur inavoué dans la mort m'a emporté.
Errant dans la galaxie j'ai cultivé la haine Et fais de la violence mon principal objectif Puis banni l'amour de mes convictions malsaines Pour engendrer au final des actes négatifs
Enragé par l'idée d'une quelconque vengeance Je suis revenu parmi ces humains bornés Afin de détruire tout ce qui m'avaient laissé Un délaissement digne d'un stupide sans connaissance
Oui vous empereurs, impétueux, audacieux Aujourd'hui même je suis revenu vous hanter Afin de faire mourir devant vos yeux Vos amours, vos amis, votre peuple au bûcher
Mort et tourments pour vous sont au rendez vous Car celui que vous traitiez comme un pauvre fou Vous haïra comme vous l'avez détesté Et vos amers pleurs pour lui ne seront qu'alizées
Et l'empereur, devenu très nerveux et énervé, regarda l'assistance avec haine et se retira
Dernière édition par le Lun 4 Avr - 9:03, édité 1 fois | |
| | | Vindilis-ror Empereur
Nombre de messages : 234 Empire : Sur la Route Date d'inscription : 12/03/2005
| Sujet: Re: Le mur du poète Dim 13 Mar - 2:26 | |
| Vieux poèmes... Perdu dans les méandres du temps... Lointaine terre... Lointaine Terre, lieu de Création.
Nouvelle terre, nouveaux temps... Mais les Écrits restent, et doivent rester.
Nouveau support... Besoin d'enregistrer de nouvelles données. Les Écrits périssent petit à petit, mais une trace doit rester...
Le druide-empereur, comme commandé par une force étrangère, se rendit, par une pluvieuse et maussade journée, dans la bulle du Mur des Poètes. Fort heureusement déserte, car jamais il n'aurais pû déclamer en public, sauf peut-être pour une personne en particulier... Le Vindilis-ror s'approcha de l'écran et commença à réciter.
Ève offrait au ciel bleu la sainte nudité; Ève blonde admirait l'aube, sa soeur vermeille.
Chair de la femme! Argile Idéale! Ô merveille! Ô pénétration sublime de l'esprit Dans le limon que l'être ineffable pétrit! Matière où l'âme brille à travers son suaire! Boue où l'on voit les doigts du divin statuaire! Fange appelant le baiser et le coeur, Si sainte, qu'on ne sait, tant l'amour est vainqueur, Tant l'âme ets vers ce lit mystérieux poussée, Si cette voluptée n'est pas une pensée, Et qu'on ne peut, à l'heure où les sens sont en feu, Étreindre la beauté sans croire embrasser Dieu!
Ève laissait errer ses yeux sur la nature.
Et, sous les verts palmiers à la haute stature, Autour d'ève, au-dessus de sa tête, l'oeillet Semblait songer, le bleu lotus se receuillait, Le frais myosotis se souvenait ; les roses Cherchaient ses pieds avec leurs lèvres à demi-closes ; Un souffle fraternel sortait du lis vermeil ; Comme si ce doux être eût été leur pareil, Comme si de ces fleurs, ayant toutes une âme, La plus belle s'était épanouie en femme.
D'ève à Jésus, La légende des sièvles, V. Hugo.
Douce lune éthérée, Dans ta chevelure Je me suis laissé allé À des idées de luxure...
Deux grands lacs vert, Plus purs que l'air ; Cette peaux, telle la nacre Baigne dans la blanche écume ; En moi un grand feu s'allume, Éloigne mes âpres pensées ; On veut, quand sur la terre la lune luit, À jamais être réunis...
Le druide claqua des doigts, et disparût une seconde plus tard dans de nombreux volutes de fumée argentée. | |
| | | Klira Empereur
Nombre de messages : 54 Empire : Hors de l'espace et du temps... Date d'inscription : 12/03/2005
| Sujet: Re: Le mur du poète Lun 14 Mar - 0:00 | |
| La jeune femme ne passait pas par hasard ici. A plusieurs reprises, déjà, elle avait pu apprécier la verve de ces orateurs si enflammés, si... envoûtés tout entier par l'étrange pouvoir de l'art. Elle pénétra dans la bulle, comme d'autres avant elle, et, sans doute, comme d'autres le feraient. Elle pris une profonde inspiration.
Je suis au désespoir De ne plus pouvoir observer Ce visage mille fois aimé, Ce qui me plonge dans les ténèbres les plus noires.
Même aux tréfonds de mon coeur, Pourtant si pur et fidèle, Je dois bien avouer qu'il se meurt D'être séparé d'une amitié si belle.
La beauté de rivages lointains ne m'est plus d'aucun secours, Il m'est impossible d'espérer retrouver un amour Qui, déjà, appartient aux cadavres de mon passé. Je m'éloigne et oublie les verdoyantes contrées
Pour moi ce ne sont plus que mirages D'espoirs à jamais inassouvis. Loin de sombrer dans l'oubli, Mon âme, à jamais, ne tombera plus en esclavage.
Je regarde l'air vibrant du soir, Puis m'endors doucement. Les yeux fermés, Se déroulent devant moi les images d'étranges contrées, Qui enlacent mon coeur dans une lueur d'espoir.
Un étrange sourire aux lèvres et une larme perlant sur sa joue, elle se sentait vidée, comme à chaque fois qu'elle dévoilait une partie d'elle même. Peut-être reviendrait-elle. Elle se dirigea vers la sortie de la bulle, non sans avoir jeté un dernier regard derrière elle... | |
| | | aelia-san Empereur
Nombre de messages : 27 Date d'inscription : 12/03/2005
| Sujet: Re: Le mur du poète Mer 16 Mar - 16:19 | |
| Aelia qui passait par là vit le fameux mur du poete, elle n'avait pas l'expression habituelle qui caractérisait sa froideur, ses pupilles étaient entiérement blanche et un rictus sadique se dessinait sur son visage parcourant celui-ci en toute sa largeur... Furtivement elle déposa le texte dans l'holopanneau prévu a cet effet et disparu dans la nuit...
Egérie Cadavérique
Tu es l'onde, douce, fraiche et si tendre Plus fort je serre la corde qui t'étrangle Tes lévres si charnues ont la saveur du miel Ce qui en coule n'est qu'écume mélée au fiel
Tes yeux sont pareils à d'intagibles mirroirs Refletant ici peur terreur et désespoir Tes myrifiques cheveux volants élégament Fusent ici, par poignées arrachées violament Tes dents si blanches rappellent la pureté Sont souillées par ta vitae au rouge parfait
Tes bras souples comme le roseau face au vent Ballotent, brisées par un funeste ouragan Tes longues jambes, fines, irresistibles J'y grave au rasoir des mots indélébiles
Ta peau si douce comme la soie des Indes Porte les stygmates des cables qui la cinglent Ta beauté est telle légère comme l'air Quelle augmente la jalousie de tes pairs
Moi toi avatar de Vénus tu m'appartient Il n'ya que moi et moi seul qui te convoite Renforçant encore plus ce si puissant lien Crescendo de cris, symphonie déroutante | |
| | | Gouverneur Feyd-Laun Prime Sénateur
Nombre de messages : 1127 Empire : Aeria Date d'inscription : 12/03/2005
| Sujet: Re: Le mur du poète Sam 19 Mar - 3:12 | |
| Killiak continua son récital, imperturbable... Les poèmes qu'il avait entendu jusqu'à présent l'avaient inspiré, et il était prêt à lire à nouveau : J'aurais tant voulu que ça dure toute l'année, Quand on était ensemble, ce moment privilégie, Un instant, me parraissant une éternité, Ce laps de temps m'a procuré un plaisir que tu ne peux imaginer.
Nos corps enlacés, Nos lèvres mouillées, Nos baisers passionnés, Nos étreintes endiablées, Nos respirations saccadées, On fait de cet instant, le moment rêvé.
Je ne pouvais imaginer, La joie qui me serait apportée, Quand, la chose passée, Nos corps blottis se sont rapprochés.
Oh, acte éphèmère, cruel mais recherché, Voici ce qu'est le moment privilégié, Celui que j'ai tant aimé, Je donnerais ma vie pour le retrouver. | |
| | | Justicier Empereur
Nombre de messages : 43 Date d'inscription : 19/03/2005
| Sujet: Re: Le mur du poète Sam 19 Mar - 19:23 | |
| Un nouveau venu visitait Le Sénat et ses ruelles par ce matin Magnifique. Il ne put rester insensible face à ce mur où des célébrités de sénata se dévoilaient. C'était magnifique. Un spectacle unique, où seul les empereurs et sénateurs pouvaient se rendre. Le jeune justicier s’approcha du mur où les poésies étaient écrites, et le jeune justicier, à son tour allait se dévoiler.
Il s’avança vers la bulle et commença son poème.
Ce Poème s’intitule « de l’un a l’autre »
Puis continuent sa dictée, le jeune homme vu les mots apparaître sur le grand écran bleuté.
Celui qui dit ne jamais avoir menti; Fait certainement le plus gros mensonge de toute sa vie. Je ne dis pas n'avoir montre que la vérité, Mais tu m'as appris l'humilité!
Je n'ai pas la prétention de me croire capable de t'aimer, Mais malgré sa, toi, mon double dans le miroir tu ma montre la sensibilité.
Apres ce que j'ai put dire ou faire, tu as sut me supporter! Bien sur j'ai appris à te rendre ton savoir-faire, Mais avec toi j'ai appris ce qu'était la capacité à s'entraider.
Toutes les choses méchantes que l'on a put se dire, toutes les stupidités que l'on a put se balancer Malgré tout, on a beau s'être fait souffrire Nous avons appris ce qu'était l'amitié
Aujourd’hui nous comptons l'un sur l'autre, Et nous n'en sortons que grandi je ne prétend pas être ton apôtre, mais juste ton ami, Et je te dis merci, merci d'avoir sut être le mien.
Le jeune Justicier, une fois son poème achevé alla s’assoire sur l’un des sièges et lut les poèmes des autres une nouvelle fois. C’était magnifique. Le premier lieu du Sénat qu’il visitait était de loin le plus beau qu’il n’avait jamais vu. Apres avoir contemplé, il se retira. | |
| | | BalTAm0S Sénateur
Nombre de messages : 88 Date d'inscription : 11/03/2005
| Sujet: Re: Le mur du poète Dim 3 Avr - 12:45 | |
| *Les jours passent, et la vie suit son cours, la politique reste la même que tu votes contre ou pour...*
Un esprit, fondu dans la foule, s'avançant au milieu de la marée des autrs êtres s'activant à rendre leur quotidien moin ennuyeux ou plus profitable, baignant dans ce flux hétérogène de cultures et d'origines diverses et variées, ruminait cette phrase qu'il avait entendu il y a longtemps et très loin d'ici, par un sage qu'il avait du rencotnrer dans un autre monde, déjà trop loin de ses souvenirs nets. Porté par le courant des pas, BalTAm0S remonta lentement la rue piétonne, comme s'il se rendait chez un boulanger ou un commerçant quelconque.
Le printemps éclatait timidement un peu partout, les oiseaux se relançaient à la conquète des cieux, rerivalisant avec les aéro-bus qui sillonnaient en permanace le ciel de la ville-parlement, et un air frais caressait l'atmosphère claire. Un tel cadre ne pouvait qu'inspirer des idées nouvelles et remplies d'espoir, il ne pouvait fleurir en cette belle matinée que de beaux projets pour l'avenir... mais pourtant... mais pourtant...
Sa y est, il sortait enfin de la rue un peu trop encombrée pour s'enfoncer maintenant dans un petit dédale de chaussées couvertes. L'enchevêtrement des passages formait une sorte de labirynthe mystérieux au milieu de la ville urbaine et maîtrisée. Mais à celui qui sait voir, rien n'est divulgué, et le Jedi gris avait parcourut les rues de Sénata V pendant longtemps... Bien que son absence fut longue, sa mémoire ne l'avait pas encore trahie, et il retrouva très vite le chemin de ce qu'il cherchait, car enfin, après quelques minutes de marche, une large place s'ouvrit à lui, avec, en son centre, le solennel Mur du Poète.
La construction de verre, en style contemporain, n'avait pas prit une ride, et en parcourant son ample structure, BalTAm0S put relire avec nostaligie quelques passages des textes qui avaient été déposée. Il en connaissait certains, d'autres lui étaient inconnus... De toute façon, maintenant, beaucoup de chose lui était inconnues, sans l'être vraiment... Mais il avait à faire aujourd'hui, il ne pouvait pas rester très longtemps ici. Il lui fallait déposer ici ce pourquoi il était venu. Il lui fallait céder au Mur ce qu'il avait du mal à porter... Après un dernier soupir, il ouvrit une petite cellule de verre, et y déposa un papier plié pour la postérité. Il n'y a alors que le vent, s'engoufrant partout, qui put y lire les caractères manuscrit dans la feuille pliée. Il put y lire ces lignes:
Ils sont doux les sommeils lourds, Ils nous saisissent au détour d'un soir, Ils sévissent, on tombe comme un loir, Ils sont doux les sommeils sourds.
Ils sont là, tapi dans les ombres, Quand nos idées marchent à tâtons, Quand les chagrins se taisent, se fondent, Comme à la fin d'une chanson...
Sans même combattre, ils nous achèvent, Ils ferment nos yeux d'une main douce Et ne laissent pas filtrer les rêves Dans notre petit lit de mousse.
Ils sont froids, ces instants de noir Où l'on s'écroule, le coeur trop plein, Ils sont très dur et sans espoir, On s'endort seul jusqu'à demain... | |
| | | Baddack Empereur
Nombre de messages : 85 Empire : Dans son Vaisseau Mére. Date d'inscription : 17/03/2005
| Sujet: Re: Le mur du poète Dim 3 Avr - 13:05 | |
| Baddack regarda sa bien aimer dans la salle et se lança
Nos chemins se sont croisés Nos yeux se sont accrochés
Ton sourire est devenu mon soleil Ta tendresse une grande merveille.
Je t'offre dans mes mains Mille baisers câlins Pour que jamais tu n'en sois privé.
il la regada il vut aucun effait alors il recommença!
Tout a commencé quand nos regards se sont croisés, Tu a renversé mon coeur, tu l'a fait chaviré. Un vent d'amour m'a fait perdre la tête Notre histoire est née pour ne pas qu'elle s'arrête. Notre amour grandit de jour en jour Je te laisse entrer et ferme mon coeur à double tour.
Tout deviens beau et merveilleux Quand je vais me noyer au large de tes yeux. Des sentiments encore ignorés se sont crées Il faut les conserver et ne jamais les briser. Dans tes bras je pars m'envoler Dans un monde doux et sucré.
La flamme de mes yeux s'est allumée Le soir ou nos lèvres se sont touchées. Aujourd'hui le destin nous appartient A nous seul de savoir prendre le même chemin. Mon amour pour toi est le plus grand Je n'ai aucun doute sur mes sentiments.
Je t'aime.
Il la regarda et attenda ! il s'approcha d'elle pour lui essuyer sa larme qui coulait encore sur sa belle joue.il la regarda dans c'est mille étoiles dans c'est yeux et lui dit :
tes parents ont volée les plus belle étoiles de la galaxie pour te les mettres dans tes yeux .Si c'est pour plus voir d'étoiles dans le ciel mais dans tes yeux alors qu'il en soit Comme sa!
Il se tourna et parqua un dernier poéme.
Ton nom commence par un beau K k comme
Kma déesse de la beaute
L comme l'amour l'amour qui mai porter dans ton coeur
i Comme le petit i dans mais yeux quant je te voie.
R comme mon Vrai nom Raphael Ange de la vie
A Comme Amour avec en grand A comme a comme je te porte quant je te voie !
il se tourna et dit
bon c'est pas mieux comme les deux autres que j'ai fait pour toi ! | |
| | | Gouverneur Feyd-Laun Prime Sénateur
Nombre de messages : 1127 Empire : Aeria Date d'inscription : 12/03/2005
| Sujet: Re: Le mur du poète Mar 5 Avr - 22:25 | |
| L'enfant regarda les empereurs ayant enfin osé se montrer, il était fier de son oeuvre, et la contemplait, un sourire figé sur ses lèvres... Il avait de nouveau écrit, il continuait de composer, tout le temps, c'était devenu sa passion, et il aimait s'exprimer au travers des mots. Killiak se replaça devant le panneau d'affichage, pendant que la pluie battait la paroi de la bulle, il commença la dictée de son nouveau poème : Gloire :
Ô acte cruel et éphémère, Tu n'es que l'étape intermédiaire, Entre le début et la fin, Dois-je accepter ce destin ?
Toi que tout homme attend, Pourquoi es-tu si cruelle ? Tu nous attires comme un aimant, Pour nous jeter dans la douleur éternelle.
N'importe quelle personne, Ferait tout pour toi, Juste pour que tu la voies, Pour que tu t'y abandonnes...
Combien ont tué ? Pourquoi ce massacre perpetué ? Simplement, pour qu'un jour donné, Un regard tu daignes leur porter...
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| Sujet: Re: Le mur du poète | |
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