Un soir de pluie...

Une elfe venait de sortir du quartier de Haber. Le motif était qu'elle voulait rendre visite à quelqu'un que personne ne connaissait à part elle, et elle devait revenir vite.

En petite tenue, la jeune fille marchait d'un bon pas dans les ruelles pourtant sombres du bourbier. Ce fut sûrement la pluie et brusque tombée de la nuit qui la surprirent, dans une tenue si découverte. Alors, elle protégea sa poitrine de ses bras et courut se mettre à l'abris dans l'un des plus proches bars.

Elle en ressortit bien vite, non pas parce que la pluie avait cessée, mais parce que le bar était très mal fréquenté, puait et sentait le renfermé, l'alcool et la cigarette.

Rien de plus nocif que ces fumées qui empestent pour les petits poumons d'une elfe assez jeune pour ses 847 ans,dont l'élément est le feu et qui vient d'être trempée par la pluie.

Donc, cette elfe sort du bar et se remet à courir. Finalement, près d'une rivière, elle s'abrite sous un pont, regardant les gouttes tomber avec un petit bruit dans l'étendue d'eau, les mains se serrant autours de sa taille pour se tenir un peu plus chaud.

Elle ne savait aps pourquoi elle était là, pourquoi la pluie était si vite tombée, si pourquoi le jour était partit au beau milieu de la fin de soirée... Tout ce que l'elfe savait, c'est qu'elle avait froid et que ses muscles étaient engourdis.

Un homme encapuchonné passa sur le pont en dessous duquel se tenait la jeune fille. Elle entendit ses pas et vit voltiger la cape. Elle ne craignait pas beaucoup de choses, mais elle n'aimait pas ne pas voir les gens, et se recroquevilla un peu plus sur elle même.

L'homme sembla s'arrêter. On entendait plus que la pluie qui redoublait d'intensité. Il ne semblait pas être incommodé par les gouttes, au contraire, il poussa un cri de joie. L'elfe cru d'abord à un fou, puis à quelqu'un qui aurait déclenché la pluie, mais se détourna bien vite de cette idée.

Puis, il sembla remarquer la présence de l'elfe car il se pencha et sa tête encapuchonnée passa en dessous du pont. Il regarda l'elfe avec un sourire qu'elle ne put distinguer et fit sur un ton glacé et narquois :

Liwana...!

Puis, la capuche tomba et la dénnommée Liwana pu nettement entrapercevoir un homme au visage couvert de cicatrices, à la peau comme faite de sang coagulé par endroits, aux dents pareilles à cellesd'un vampire, mais elle savait parfaitement que ce n'en était pas un...

Retenant un cris, Liwana sauta sur ses jambes et s'enfuit en courant, l'homme à sa poursuite. Elle ne pouvait rien faire seule contre lui.

J'etais soti du bar de liwana, la pluie etait incessante et coulait sans cesse. Il etait occupé, tres occupé. Il devait gerer deux empires, ce qui l'exedait, car l'empire auquel il devait s'occuper etait celui d'une amie. Il se resigna a mettre son capuchon lorsque la pluie commencait a faire tant de bruit que cela l'empechait de reflechir.

Il devait passer par des ruelles assez sombre, et evidemment peu fequenté et reputé pour ne pas etre un coin de paradis . Il entendit ce qu'il cru etre les pas de quelqun, ca venait de passer devant lui, il cru reccnaitre liwana, mais ce dont il etait sur ce que c'etait une femme. Il passa son chemin quand un autre personne epasa devant lui, il avait le visage dechiqueté avec du sang sur la figure ainsi que de nombreuse cicatrice.

Il ne savait pas qui c'etaient, mais il devait l'aider meme si il ne la connaisais pas, ou au moins savoir ce qu'il se passait

Empereur Nombre de messages : 116 Date d'inscription : 12/03/2005

Minas était partit pour un long voyage depuis déjà plusieurs jours. Tout ce passait bien, a vrai dire tout se passait extrêmement bien.
Mais toute les bonnes choses on une fin, et alors, sont voyage prit fin.
Tout n’était pas perdu pour lui, puisqu’il repartait le lendemain.

Or il malgré toutes les bonnes choses qu’il avait pu voir entendre ou manger, une chose lui manquait pardessus tout, et c’était sa bien aimée, Liwana.
Il chargea donc des serviteur de préparer son départ, et prix le chemin de Sénata.

Son vaisseaux était rapide, et il savait qu’il ne lui faudrai pas attendre des heures pour atteindre sa destination.
Il songeait a Liwana, au plaisir de la retrouver…
Mais lorsque ses pensées se perdirent, un sentiment étrange survint en lui.
Un mélange d’angoisse d’anxiété et de peur…
Comme si quelqu'un de très chère en son cœur était en danger.
Il poussa les gaz et partit a toute vitesse vers Sénata.

Il y arriva quelques minutes plus tard, et se posa sur une plate forme toute proche du cartier de Haber.
Et ce mit à courir jusqu’aux bar de sa bien aimée, l’angoisse au cœur et de la pluie plein les yeux.
Là aussi, il y arriva très vite, et y entra.

Lorsqu’il passa le seuil, il jeta un regard circulaire, dans la salle sans même dire bonjours.
Un homme qu’il ne connaissait pas et qui était assit au bar lui cria :

Ta petite elfes est partit sous la pluie depuis un baye !
Tu est en retard.

Minas ne chercha pas a comprendre, le fait qu’il soit avec Liwana n’était pas un secret, mais cependant, une grande peur l’envahit.
Et si son sentiment de toute à l’heure saverai être véridique ?
Et le doute comme la peur l’envahit.
Il ne savait plus trop quoi faire, s’était la première fois qu’il était « coincé »…

Il se détourna du bar, claqua la porte comme pour évacuer le stresse et la peur.
La pluie tombait toujours aussi fort, l’eau ruisselait sur son visage.
Il ferma les yeux prix une profonde inspiration, puis les rouvrit.

Il déplia ses grandes ailes blanches, et s’envola le plus vite qu’il pouvait a la recherche de sa bien aimée comme guidé par quelque choses.
Les secondes lui parairent des minutes, les minutes des heures…
Une angoisse oppressante !

Mais il finit par discerner 3 silhouetter qui couraient dans la nuit.
Il plongea vers ces hombres en mouvement, le pluie lui piquait les yeux, et ses ailes commençaient à se fairent lourdes a cause du poids de l’eau…

Il se posa juste au coin de rue ou la première hombre avait tourné, et il s’en saisit.
Une joie immense le parcourut lorsqu’il vit que c’était Liwana qu’il avait dans ses bras.
Mais ce sentiment s’estompa vite lorsqu’il vu la terreur dans les yeux de son elfe.
Il la questionna du regard, mais il n’eut pas a attendre la réponse, un homme au visage immonde venait de surgir devant lui, le regard menaçant.
Et juste derrière lui arriva Fire.

Minas était heureux de voir un autre visage familier.
Il serra Liwana dans ses bars plus fortement, et avec un mouvement délicat et empreint de tendresse la mit derrière lui en signe de protection et Fixa l’homme qui poursuivait sa bien aimée, attendant la suite des événement.

Eragon sortait d une importante discutions avec l état-majors de l empire qu il représentait. Tout les membres ou presque a par lui, le haut roi et un ami, était des longues barbes comme on les appelle, de bon nain qui on servi l empire et qui son devenu fort vieux mais qui continue a exercé. Beaucoup d entre eux avait vu Eragon arrivé dans l empire. Il était dans le poste de commandement de son vaisseau, l Infinité. La discutions commençait a être ennuyeuse, certain participent commençait a grommelé dans leur barbe et même un troupeau géant chargeant massue en l aire ne les aurait pas ébranler. Eragon perdit patience et pris congé de l état-majores, du haut roi et de son ami martelier.

Au lieu de retourner dans son petit paradis il décida de sortir malgré la pluie diluvienne qui assombrissait Sénata V. Il vérifia qu il avait tout avec lui et fini son inventaire par son médaillon sur le quel était gravé sa rune, il était composé de quatre métaux différent, du bronze, du fer, de l or et du platine. Au centre ce trouvai gravé dans les quatre partie du médaillon la rune de vie, guérisseuse, créatrice de lien et de vie. Il sorti et ne pris pas de manteau.

Il se baladai depuis un moment dans Heber quand il entra dans le Bourbier. Soudain sans cris et gare trois personne passèrent devant lui au pas de course manquant de le faire tomber, la pluie avait affaibli sa vision et son ouïe. Essayant de retrouvé son équilibre il posa le pied sur le sol et glissa, se retrouvant sur le sol, les derniers endroits de son corps qui n était pas encor trempé le furent. Il se releva et parti en quête de ce groupe a l origine de la noyage des dernier pans de sa tunique sèche.

Il les suivit difficilement et il lui sembla apercevoir une masse volante au dessus de sa tête. Il finit par déboucher dans une petite allée, il distinguait trois forme … non quatre, deux d entre elle était colée l une a l autre et avec la pluie il ne l avait pas vu tout de suite.

Par chance bordant la ruelle une petite terrasse offrait un abri plus ou moins sec, il se dirigea vers celui ci et après beaucoup de tentative pour allumer le bois mouiller il finit par allumer la petite torche et pu distinguer Fire, Minas qui tenait dans ses bras Liwana dans une tenue plus qu indécente et finalement un homme au visage déformer par les combats, il était vraiment affreux mais avant de s occuper de lui il eu mieux valu s occuper de Liwana qui devait grelotter sous cette pluie glacée.

Eragon trouva accroché a se qui semblai être un porte manteau un imperméable puis sorti a regret après avoir déposé sa torche de façon a ne pas l éteindre ni a allumer la maison avec, il demanda a Minas d offrire un peux d aire a Liwana le temps qu Eragon l aide a mettre l imper et qu elle puisse se mettre a l abri sous la terrasse et si possible près d un bon feu mais quelque chose lui disait que l homme qu il ne connaissait pas ne l entendrait pas de cette oreille (c il lui en restait).

Liwana se retourna vers Minas. Elle ne le reconnut pas. En pleine crise par cette apparition soudaine du passé, elle se débatit pour ne pas rester en l'air.

Elle finit par gagner et retomba dans le vide. Ou plutôt dans l'eau. Eh oui, l'eau par dessus laquelle passait le pont. Liwana ne suportait pas l'eau, elle aurait mieux fait de rester dans les bras de Minas, il l'aurait déposée à côté de Fire et d'Eragon... Mais elle ne l'avait aps reconnut.

Nageant comme elle le pouvait, elle finit par regagner la berge, tout près du pont. Elle courut pour s'y réabriter, mais se souvint de l'apparition. Elle préféra se laisser tremper jusqu'aux os plutôt que de Le revoir.

Se retournant, elle aperçut une silhouette sur l'autre bord du fleuve, abrité sous un terrasse. D'un coup, le souvenir du capuchon tombant de la tête de l'homme revint à sa mémoire.

Elle poussa un cri et regarda derrière elle. Il était là. Elle nele voyait pas mais elle sentait son odeure repoussante. Un éclair illumina le ciel, et elle put voir son visage découvert et repoussant.

Courant à nouveau pour échapper à la menace qui planait sur elle comme autrefois, elle grimpa sur un arbre. Il ne put la suivre et se contenta de lui parler, ce qui eut un effet encore plus désastreux que si il l'avait attrapée.

Te souviens tu, Aly ? Te souviens tu de ce que tu m'as fait ? Ravive tes souvenir, je vais rallumer le feu qui crépite en toi, réveiller le tigre qui sommeille en toi, arroser la plante qui a besoin d'eau pour grandir, humer le vent pour me rapeler d'un endroit, voir le ciel pour distinguer les nuages !
Te souviens tu de ces paroles ? Courrir dans les champs pour salir ma robe blanche, rester sous la pluie pour mouiller mon visage, j'ai besoin de caresser le tigre pour l'apprivoiser, de frotter l feuille pour sentir son odeur, écouter l'oiseau pour savoir lequel est-ce, compter les secondes qui séparent les éclairs pour avoir leur distance, rêver la vie pour mieux la connaître, sortir de mon enclos pour découvrir la forêt...
Te souvens tu de ces paroles que tu m'as toi même dites il y a de cela 20 ans auparavant ? Puis, tu t'en souviens, tu m'as tant fait souffrir, ce jour ci ! ou plutôt, cette nuit ci ! Tu m'a surprise, le feu de l'action, sans doute, et moi, je vais mouiller la terre pour avoir des sables mouvants dans lequels tu t'engouffreras pour noyer ton chagrin pour toujours, avec toi !

La tête de liwana allait exploser. Chaques paroles, chaques mots provoquaient une douleur un peu plus atroce à chaques fois, ravivent des souvenris qu'elle ne voulait pas entendre.

la pluie redoubla d'intensité. Liwana ne pouvait en supporter plus. Jetant ses ultimes forces dans la bataille, elle abatit sa chaussure à talon aiguille en plein sur la tête de l'homme qui n'émit aucun son, mais finit sa tirade :

Rien ne peut plus me faire mal. Tue moi !

Mais liwana an'en pouvait plus, et elle dut le regarder s'éffondre sur le sol trempé avant d'en faire de même sur son arbre.

HRP : Merci Liwana pour avoir pratiquement ignoré mon décor et celui des autres. / HRP

Eragon était descendu de la terrasse jusqu a l arbre où Liwana c était réfugiée. Il avait écouté attentivement les paroles de l homme puis il l avait vu s effondre et Liwana a la suite qui perdit l équilibre et tomba. Eragon fit un bon vers l arbre et rattrapa Liwana inconsciente, il la vêtit de son manteau. Eragon portait maintenant une chemise sans manche bleu claire, son bras droit portait un bandage qui autrefois avait du être blanc. Il la ramena à la terrasse et la déposa sur une chaise a bascule qui y trônait. Il toqua à la porte mais personne ne lui répondit, il essaya d ouvrire la porte mais elle était fermée, il donna un bon coup de pied dedans et elle s ouvrit à la volée, Eragon entra et alluma, on ne sait comment, l âtre qui s empressa de dispenser une faible dose de lumière et de chaleur. Vu l état lamentable des lieux la maison devait être abandonnée, Eragon ressorti et emmena Liwana a l intérieur, il trouva un vieux sofa et l y coucha, il déplaça ensuite le sofa et le mit devant le feu pour que Liwana puisse se réchauffer. Ceci fiat il sortit et appela les deux autres. Il dénicha ans la pièce trois autre fauteuil et il s assit dans l un deux trempé et un peut fatiguer par la succession des événements, surtout la réunion.

Liwana se réveilla et regarda autours d'elle. Elle était allongée confortablement dans un canapé, à côté d'un feu. Ce devait être quelqu'un qu'elle connaissait qui l'avait mise là, seul ses amis savaient qu'elle se mettait toujours à côté du feu.

Jetant un regard autours d'elle, elle aperçut Eragon qui veillait sur elle, à moitié assoupit. Elle pensa, rassurée :

ouf, ce n'était qu'un mauvais rêve, j'ai du m'endormir dans ma taverne, en fait je n'ai pas bougé.

Puis, observant attentivement chaques recoins de la pièce, elle se rendit compte que tout avait changé. Elle cru d'abord à être devenue folle, se frotta les yeux, et découvrit derrière le comptoire une serveuse qui la regarda avec des yeux ronds.

Le patron du bar arriva ensuite et demanda en s'approchant de Liwana, l'air pas commode :

un problème ma p'tite ? Tu te sens pas bien ?

Liwana prit peur d'abord, puis jeta un coup d'oeil à Eragon. Il n'avait pas bougé. Elle comprit alors que c'était elle qui avait bougé et n'était plus dans son bar.

Remuant la tête en signe d'approbation, que tout allait bien, elle tira son ami par la manche et lui demanda précipitamment :

Ce n'est pas mon bar ! Ce n'était pas un cauchemard ? Ne me dit pas qu'il est revenu !

Elle regarda par la fenêtre. La pluie tapait aux carreaux. Elle sembla se calmer, mais se retourna vers Eragon toujours aussi apeuré. On avait jamais vu l'elfe dans cet état.

Elle se rapprocha de lui et demanda plus calmement :

C'était bien eux, Fire et Minas. Je les ai aperçu. Ils étaient là ? Est-ce qu'il les a vu ? Réponds moi, Eragon, je t'en supplie !

Elle regarda son bras. Il saignait abondamment, une grosse plaie qui s'était réouverte. Eragon n'avait pas pu la voir, elle était cachée. Elle alla chercher un flacon et déposa quelques gouttes sur sa plaie qui se mit à fumer.

Liwana fit la moue, rangea sa fiole et se retourna vers Eragon. Elle s'assit et attendit les réponses à ses questions.

La plui commencait doucement a se calmer, en faisant moins de bruit en tombant sur les differentes maison miteuse du bourbier.
Il arriva devant la porte de la taverne où liwana y fut emporté. Il dit a minas d'y entrer.
la taverne etait vieillement decorée, plusieur personne faisait quelque jeu de carte aux tables.

Il vit liwana avec eragon au loin et lui dit:

Rien....il n'y a plus rien....il a dû partir, neanmoins c'est un bonne initiative que tu as eu de prendre liwana et de l'emmener ici, tachons de ne pas la laisser seule pour le moment

Liwana quand a elle etait incontrolable, elle regardait les vitres tout le temps et elle sursautée a chaque bruit dans le bar. Une fumée s'eleva de son bras, venant du la mixture qu'elle avait sur son bras.
C'etait un plaie assez profonde mais que lui etait il arrivé? Il s'approcha d'elle doucement et dit:

tu te rapelle, je suis fire et tu es mon amie, tu te souviens de moi?

Elle hocha la tete rapidement, secouant ses cheveux trempé puis il reprit

Que t'es t'il arrivé liwana? d'ou viens cette plaie?

Il la recouvrit d'une serviette pour la rechauffer, elle etait trempée jusqu'au os.[/b]

Eragon vit Liwana s agiter, il eu envie de la prendre dans ses bras pour la réconforter mais l idée que Minas puisse entré a tout moment dans la pièce l empêcha de se mouvement, il se contenta de répondre a Liwana :

-De qui tu parle ? si c est de l homme a la face déformer, oui il est apparemment de retour. Fire et Minas sont là, je ne sais pas si il les a vu mais je pense que oui. Que s que c est que cette histoire ?

Liwana n avait pas l aire de se calmer et Eragon se demandait que pouvait il encor faire pour tenté de la calmée.

Liwana avait vu Fire rentrer. Elle était soulagée qu'il ne lui soit rien arrivé, mais il restait encore Minas. Elle demanda à Fire de s'asseoir à côté d'eux et répondit d'abord à la question de celui ci, en grimaçant : le liquide brulait horriblement.

Je n'ai que deux certitudes absolues : la première, cette blessure m'a été causée par l'homme que vous avez vu. La deuxième : cet homme fait partie de la "face cachée de mon passé mystérieux". Je n'aime aps les mystères, mais il faut l'amettre, mon pssé se réveille au moment où je quitte cet homme.

Si je voulais me rapeler plus de mon passé, je le pourrais sans difficulté, mais j'en ai peur, il faut que je l'avoue. Cette blessure, le seul moyen de combattre la douleur qu'elle m'inflige, c'est de me faire encore plus mal à un autre endroit : cela annule cette douleur mentale.

À chaque fois que la plaie saigne et la douleure se réveille, il apparait. Je ne l'ai vu que deux fois, mais j'en ai la cerrtitdue : il y est pour quelque chose.

Elle esquissa un sourire pour les rassurer, et jeta un utre coup d'oeil à la fenêtre. il pleuvait à verse. La pluie ne s'arrêterait donc jamais ? Etait-ce un mauvais présage ?

Le barman écoutait d'une oreille interessée leur conversation. Elle les entraina dans une pièce à part et les serra contre elle. Elle aimait tant ses amis ! Que ferait-elle sans eux ?

Minas a son tour rentra dans le bar, liwana eut un rictus de soulagement des qu'elle le vit. Elle l'entraina dans la pièce a coté. La plaie de liwana fumait et elle plissa les yeux a chaque fois qu'elle rajoutait des gouttes. Se faire souffrir pour avoir bonne conscience ce n'etait pas la meilleure chose a faire, mais liwana fait ce qu'elle veut, elle est assez grand pour prendre des choix, et prendre les bons.

Il ne comprenait pas tout de ce que liwana avait dit, selon elle " Il " ferait parti de son passé. Mais qui est il, que lui a t'elle fait pour qu'il se venge ainsi? il ne le savait pas et ne voulait pas le savoir, ces souvenir faisait parti d'elle et il devait continuer a faire partie d'elle, cependant il lui dit:

Quel est cet homme? quel visage affreux il avait... mais ne crains rien, cela m'etonnerai beaucoup qu'il vienne dans ce bar et tente quoique ce soit, avec les hommes du bar et nous a tes cotés tu na plus de soucis a te faire

Il sourit a ses paroles et alla commander au barman une boisson chaude ainsi que trois beri-cola et porta la boisson gentillement a liwana.

Empereur Nombre de messages : 116 Date d'inscription : 12/03/2005

[HRP: dsl pour le retard, je suis en vacances loin de toute connections Internet, donc répondre n’ai pas facile lol]

Minas entra quelques minutes plus tard, les ailes alourdies par l’eau et le regard inquiet.
Il avait poursuivit l’homme aux cicatrices mais chercher quelqu'un dans le bourbier n’ai pas chose aisé et cela avait donner lieu à un échec.
Il était inquiet car cet homme représentait une menace pour Liwana et maintenant qu’il lui avait échappé, il pouvait revenir à tout moment.

Minas n’avait pas totalement compris le comment du pourquoi car il n’était pas là lors des explications des Liwana, mais il avait sa petite idée.
Il ne dit quasiment rien, de toute manière il n’avait pas grand-chose à dire…

Mais il se devait de soutenir sa bien aimée dans cette « épreuve ».
Alors, après avoir remercier d’un signe de tête ses compagnons pour leur aide, il se mit derrière Liwana et tout en la serrant dans ses bras comme pour la rassurer, orienta ses ailes vers de feux afin de les sécher…

Une discussion sur ce qui s’était passer s’en suivit et Minas ne lâchait toujours pas Liwana, la gardant dans ses bras tant pour la assurer elle que pour se rassurer lui-même.
Tout le monde connaissait l’amour qui les unissait, et si Liwana venait a disparaître, nul doute que Minas ne tarderai pas à la suivre…

Il savait que pour en finir avec cette histoire il devait se débarrasser de la menace, c'est-à-dire l’homme aux cicatrices.
Mais pour cela, il fallait le trouver, et pour le trouver, il fallait le connaître.
La seule qui pouvait lui apprendre quelque choses sur lui était Liwana, mais serait-elle assez forte pour faire resurgir son passer sans que cela lui laisse des traces ?