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 Sid meiers, toute une vie ....

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Sid meiers
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Sid meiers


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MessageSujet: Sid meiers, toute une vie ....   Sid meiers, toute une vie .... Icon_minitimeSam 12 Mar - 0:36

Histoire:

Et voilà ! C’est terminé !

Je viens de sortir de mon dernier cours de LG (Logistique Guerrière), cela fait à peu prés dix ans que je suis ces cours dans l’espoir de devenir un général, redouté, apprécié mais surtout compétent. J’étais enfin sorti du système d’étude supérieur, et je me rappelais avec tristesse, toutes les années de bonheur passées dans cette ville de Touj 7, arrivé dans cette ville à l’age de 5 ans, je n’avais pas pu m’attacher à ma précédente demeure, donc celle ci était ma maison…

Mes parents, l’un propriétaire d’un hôtel de luxe sur la Capitale de notre système, à savoir Xotha (ville portant le nom de la personne qui, à la tête d’un millier de colons, s’était approprié ces terres vierges de toute personne dotée d’intelligence, c’était un valeureux guerrier, bien qu’un peu trop militariste), C’était mon père, qui possédait cet hôtel, il l’avait acquis lors d’une grosse vente aux enchères, car le précédent dirigeant, avait fait faillite, à cause de mauvaises fréquentations au sein de son établissement. Ma mère elle, était une respectable secrétaire de salon de beauté, mais sa vie se concentrait surtout chez nous, elle passait le plus clair de son temps à ranger, nettoyer, repasser, la pauvre je la plains, sans pouvoir faire grand chose, les études m’occupaient beaucoup et en plus je ne voulais absolument pas les quitter, elle me tenait à cœur, j’avais l’impression qu’une grande partie de ma raison d’être était les études. A ce jour j’approchai de ma vingt-huitième année, et je me portai comme à mon age de gloire qui fût pour moi la dix-septième, j’étais châtain clair, avec quelques reflets blonds en été quand le torride soleil frappait de toutes ses forces sur ma chevelure. Les yeux d’un vert éclatant de beauté (enfin, c’est ce que m’ont dit une des rares filles rencontrées sur cette planète), Du haut de mon mètre quatre vingt, j’étai dans la bonne moyenne, mais les délicieux plats préparés spécialement pour moi à la maison avaient raison de mon poids très légèrement haut : quatre vingt kilos, que j’allais certainement perdre très rapidement car je commençai l’un des sports les plus populaires chez moi, le space ball, il fallait être vif d’esprit, très réactif, et avoir une bonne musculature.

A la sortie de ce cours je n’avais malheureusement personne à qui communiquer ma joie d’avoir enfin terminé les études, à part quand je vis, là, au fond du couloir ma compagne, je la regardai à cet instant comme au premier jour, toujours aussi rayonnante de joie de vivre, de beauté, elle était merveilleuse….

Notre premier contact en ce jour fut un merveilleux baiser….

- Je t’ai manqué j’espère ? dit farouchement Céline (de son prénom)
- Et bien à vrai, euh oui terriblement. Je lui fis un grand sourire.
- Alors ce dernier cours, comment ça s’est passé ?
- Et bien, je dirais qu’un cours sur la réalité virtuelle dans le subconscient d’un patient atteint d’une lésion cérébrale, est, euh comment dire, inintéressant au possible.

Elle se prit alors d’un fou rire, puis nous avons continué cette discussion aux allures ironiques jusqu’à notre point d’arrêt à savoir le parc municipal, dans celui ci, après avoir échangé de multiples câlins en tous genres, chacun rentra chez soi, elle habitait une modeste demeure au sud de la ville à proximité du quartier attribué à la population nippone.

L’accueil que je reçus chez moi, était inattendu mais surtout inespéré, mes parents avais convié chez moi une multitude d’amis de tous ages, mais aussi de simples connaissances, avec qui j’eus la possibilité de faire des amis, bien que nous nous soyons parlé qu’une soirée, j’avais l’impression, j’avais à présent des amis sur qui compter. A la fin de cette merveilleuse soirée, je reçus un appel de Céline (qui était en pleurs), qui m’annonce une tragique nouvelle, elle devait partir pour le système solaire de Goulp à environ cinquante quatre années lumière de là, son père étant le général Vlad 9, il était muté la bas. J’avais l’impression que l’on m’annonçait la fin du monde, j’étais désemparé, perdu, je perdis l’équilibre et par la même occasion je perdis aussi connaissance.

Je me réveillai, dans un lit qui m’était inconnu, mes parents puis d’autres personnes étaient autour de moi, et parlaient de tout et de rien en attendant ma reprise de connaissance, ma première parole fut celle ci : Ou est Céline, ou est t’elle, je veux la voir !!! Mais les réponses que je reçus n’étaient pas positives, dans le genre: tout va bien elle est partie à présent, ou encore ne t’en fais pas elle doit revenir dans un ou deux ans. Ces paroles bien qu’étant destinées à me réconforter, ne faisaient en moi que désespoir et malheur.

Quand tout le monde fut sorti de ma chambre, (j’appris par la suite que j’étais dans un hôpital) Je pris mes vêtements, et courus à la station spatiale la plus proche…. Avec une idée bien fondée en tête.

Il y avait un nombre incommensurable de portes à passer avant de pouvoir enfin, espérer respirer l’air pur (Enfin pur, ce mot qualifiait bien la différence qu’il y avait entre l’air intérieur, et celui de l’extérieur, mais il n’était pas pur du tout), j’avais l’impression que je restais une éternité dans ces locaux médicaux, endroit ou je m’étais juré avant de pas y retourner depuis mon accident de transport…. Il faisait froid, la fatigue forçait mes yeux à se fermer, je résistai de toutes mes forces mais rien à faire je m’endormis, et ce qui devait se passait se passa, je rentrai en collision avec un autre automobiliste comme moi, je me réveillai quelques jours plus tard dans l’hôpital le plus proche du lieu de mon fâcheux accident, et dans cet endroit sordide je reçus une si mauvaise hospitalisation que je fis la promesse de plus jamais y retourner, mais le destin en a voulu autrement. Quand je vis enfin la dernière porte je réalisai à présent que c’était une folie de vouloir courir jusqu’à la station de transport, car la plus proche (si je peux employer ces mots) se trouvait à prés de deux kilomètres, et l’état de mes forces ne me permettait pas de parcourir une telle distance en temps voulu, je décidai donc de passer chez moi sans que bien sur personne ne me remarque car sinon ce serait la panique totale. Après une dizaine de minutes je vit enfin ma maison, quel soulagement, car cette fatigante et fastidieuse course m’avait paru durer une éternité.

J’entrai dans ma chambre par la fenêtre qui se trouvait à une hauteur d’environ deux mètres trente, je gravis l’obstacle sans grande difficulté et pris dans ma chambre, de quoi m’habiller, une certaine somme d’argent et laissait un mot adressé à mes parents comme l’aurait fait tout enfant bien élevé, je leur adressai ces quelques mots : « Maman, Papa, comme vous vous en apercevrez assez vite je suis parti de l’hôpital, je pense avoir retrouvé assez de force pour aller à la rencontre de l’être qui me tient le plus à cœur, je vous aime également, mais j’espère que vous me comprendrez, ce n’est pas le même amour vous le saviez, j’éprouve un immense amour pour Céline, je suis fou d’elle je suis d’ailleurs peut être fou tout court mais cela est mon choix, ma vie. Je vous embrasse tendrement et très chaleureusement, je vous reverrai bientôt ! »

Puis tout bouleversé par ces mots adressais à des êtres que je ne voulais pas perdre, je partis. A quelques rues de la je pris un taxi, il était aux commandes d’un très joli Z-95 transformé pour son métier en véhicule de transport. Ce chauffeur était très impertinent, il me posait des tas de questions sur ma vie affective, professionnelle et de famille, je ne sais pas ce qu’il avait contre moi celui là, bien que la durée du transport fut courte, j’avais l’impression qu’il m’avait posé des centaines de questions et je n’étais peut être pas loin de la vérité. Arrivé à bon port, je le payai et lui dis que ses méthodes de travail étaient certes très amicales, mais quelque peu pesantes. Pour continuer dans ma série de malchance, le premier vaisseau de transport pouvant aller à l’endroit souhaité (à savoir Arae du système solaire de Goulp) ne partait qu’une dizaine de minutes plus tard, je me résignai donc à louer un vaisseau monoplace, bien que ma compétence à piloter ce genre d’engin était très limité. Je me renseignai donc auprès du bureau prévu à cet usage : seul un Gallofree était disponible, sa vitesse étant réduite il fallait que je m’attende à un voyage assez long. J’étais donc obligé de prendre ce vaisseau, car il était le seul disponible sur le moment, la sortie du hangar fut assez périlleuse car bien que je fut adroit, mes capacités de conduite étaient réduites, le fait de ne pas avoir conduit depuis environ dix ans m’avait fait perdre une grande partie de mes connaissances. Puis je sortis sans trop de difficultés de l’atmosphère de la planète. Je commençai à reprendre la main, je me permettais même de faire de grands virages de-ci de-là.

L’ennui commençait à me ronger de l’intérieur, je décidai donc de brancher sur un des murs Holographiques les informations de la galaxie, il traitait de divers sujets, concernant la politique, les sports, les populations, bref, je croyais que cela m’aurait occupé quelques instant mais non cela m’ennuyait encore plus, jusqu’au moment ou ils annoncèrent d’un ton grave, qu’une révolte politique avait eu lieu sur Touj 7 cette planète ou vivait ma famille, mes amis, ils montrèrent des images de la ville en feu, saccagée de l’intérieur, des coups de feu éclatant de tous cotés, les gens couraient, criaient, hurlaient même, des gens blessés se traînaient de tous cotés des routes. C’était affreux….. Et je ne pouvais rien faire, tout ce qui me restait la bas était parti en fumée comme toute la ville d’ailleurs, une grosse partie de l’amour que je consacrai aux gens que j’aimais venait de se volatiliser sous mes yeux impuissants. Mais cette tragique nouvelle, qui il faut bien le dire rajoutait une grande quantité de malheur, à celui qui était déjà le mien, n’allait en aucun cas, m’empêcher d’aller retrouver Céline sur sa maudite planète Arae, car c’était la seule personne en qui je consacrai de l’amour, le seul être en ce monde qui me tenait à cœur à présent.


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Sid meiers
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MessageSujet: Re: Sid meiers, toute une vie ....   Sid meiers, toute une vie .... Icon_minitimeSam 12 Mar - 0:40

[Hrp] Dsl mon histoire ne contient pas en un seul message, ce n'est en aucun cas du flood ... [/hrp]

Après autant d’émotions, j’enclenchai la procédure d’hibernation virtuelle assistée par la SGH (Station galactique hibernatoire), il fallait cela car le voyage, même si peu de temps mettra t’il, devait passer dans des zones de rayons gamma, et UV à très haute dose. Je m’installai donc dans le compartiment prévu à cet effet, pensais une dernière fois à tous les événements passés dans les dernières vingt-quatre heures, et m’endormi dans un sommeil ou sont bannis les rêves, les cauchemars, et toute croissance corporelle, qui s’effectuent normalement. Le voyage dura huit heures.

Mon vaisseau arrivait à vingt minutes de ma destination, et une seringue s’enfonçait dans mon bras, pour pouvoir m’injecter le produit me permettant de me réveiller enfin ! Et voilà le vide total, qui était présent dans mon corps, commençait à être remplacé par de multiples pensées en tous genres : mes parents, mes amis, ma planète et bien sur Céline. Je repris les commandes du vaisseau pour pouvoir entrer avec succès dans l’atmosphère d’Area, et atterrir sans problème. Arrivé sur la planète, je vis pour la première fois ce que l’on appelait «la foule ». Dans la rue ou je me trouvais, il y avait de toutes parts des boutiques souvenir, des contrebandiers en tout genre traquant les touristes pleins d’argent. Les gens se croisaient, se coupaient la route, aucun ne faisait attention à l’autre comme s’ils étaient seuls dans cette rue bondée. Ils appartenaient à toutes les races, des petits, des gros, des grands, des difformes, des verts, des violets enfin de tout. Et c’est à ce moment la que je fut pris d’une panique phobique, car je me demandais bien comment j’allais pouvoir retrouver ma moitié, dans ce tas de races, ou personne ne parlait la même langue. Je ne savais même pas si quelqu’un parlait la mienne. Mais il fallait bien y aller de toute façon, je n’allais pas rester là, à la sortie de la place que j’avais loué pour garer mon vaisseau.

Je m’engageai donc dans cette foule ou l’air était chargé d’odeurs plus dégoûtantes les unes que les autres, du fait de la transpiration de chacun, de la fumée sortant des bouches de CE ( Canal d’évacuation). La pollution était tellement présente que l’on ne voyait pas le ciel si tant est qu’il y en eut un. Cette planète était une vraie poubelle. Après environ une demi-heure de marche, je trouvai enfin un bureau dans lequel j’espérais trouver les renseignements suffisant à ma recherche. Ma chance était revenue, il se trouvait à l’intérieur, outre le monde, un terminal de données libre d’accès. Je recherchai donc, grâce au nom et au prénom de Céline, l’endroit ou elle pouvait bien résider. Cette information ne se fit pas attendre. Elle m’indiquait qu’elle et sa famille habitaient dans le quartier riche de la ville qui se trouvait à mon plus grand désespoir de l’autre côté de la ville. Mais une pensée me vint à l’esprit, celle que cette ville disposait obligatoirement de transports en commun ou de taxis ou quelque chose qui pourrait m‘amener au lieu désiré. Mais en plus de retrouver Céline, il fallait que je lui demande un logis et même un métier. Tout plein de questions se posaient à moi, comment le prendrait son père et surtout elle. Peut être m’avait t’elle oublié malgré le peu de temps passé loin l’un de l’autre, car je pense qu’elle n’éprouvait pas les mêmes sentiments que moi envers elle. Moi j’étais un solitaire endurci, qui s’accrochait aux personnes que je croyait être des amis, car les occasions ne se bousculent pas dirons nous, et elle c’était tout le contraire ou presque ! Dans cette avenue, on aurait cru que la circulation automobile n’était principalement occupée que par les taxis et autres transports en commun. Je fis signe à l’un d’eux de s’arrêter pour me prendre, mais celui ne me vit pas et donc ne s’arrêta pas. Puis après quelques autres tout aussi infructueux appels, je parvins à en interpeller un, qui, contrairement à mes idées reçues sur les gens cette planète, était d’une courtoisie et d’une éducation qui me troublait presque, car on ne s’attendait pas à voir une personne comme celle ci dans ce milieu là ! Le trajet qui devait me mener à l’endroit désiré, passait par une sorte de tunnel sombre ou l’air était humide et suffocant. A la sortie de ce tunnel, je crus avoir une vision : des palais resplendissants, des gratte-ciel hauts comme la plus haute de nos montagnes, tout était propre, brillant, il se dégageait de toutes parts un délicat parfum de rose.

Le taxi me déposa devant l’un des plus grands bâtiments présent en ces lieux. Il ajouta après que je lui est réglé la course que seuls des gens riches, bourgeois et faux pouvait habiter ces lieux. Je pris cette remarque à la légère, et entrai avec comme seule affaire ce que j’avais sur mon dos. A l’accueil de ce bâtiment, on m’indiqua gentiment l’étage et le numéro d’appartement où semblaient habiter Céline et sa famille. Je pris donc le télé porteur, qui me mena en un instant à l’endroit désiré. Je me trouvai à présent devant une grande et large porte, ornée de mille et une pierres. Maintenant que je me trouvais a quelques mètres seulement de mon but, j’hésitais à sonner. Que m’arrivait t’il ? Je me pris à penser que tout le chemin parcouru était vain, qu’elle ne m’aimerait peut être plus, ou même pire encore qu’elle ne m’aimait pas du tout. Je pris mon courage à deux mains, et sonnai à l’interphone graphique. Une dame d’un certain age me répondit et je compris à son expression que je m’étais trompé de porte. Je regardais sur le papier que l’on m’avait donné à l’accueil, et en effet à une porte près je tombais sur la bonne. Je me décalai alors vers la porte, sonnai, et à ma grande surprise ce fut Céline qui répondit, aussi surprise que moi, elle tomba des nues de me voir là devant sa porte. Mon cœur battait ( m’aimait t’elle toujours ! ). Elle ouvrit et m’embrassa fougueusement. J’interprétai cela comme un signe de consentement pur et net ! Mais son père aurait t’il un accueil aussi chaleureux, certainement pas. D’abord parce que nos liens ne sont pas affectifs, et puis je ne savais pas comment il prendrait ma demande d’asile chez eux.

Je passai toute l’après midi en compagnie de Céline, qui fut magnifique. Son père ne rentrait qu’après son travail ( Il était général des flottes impériales de la république). Cela tombait bien, car il y à quelques heures encore, j’avais obtenu mon diplôme de Logistiques Guerrière , qui me permettait d’entrer dans l’armée en temps qu’Officier, directement sans passer par toutes les étapes préalables des nouveaux bleus, n’ayant aucune expérience en la discipline. Céline me conta des choses que je n’aurais jamais pu imaginer, à savoir qu’elle avait été forcée de déménager par son père. Il l’avait même quasiment menacée pour qu’elle aille avec lui, et lui avait même apparemment menti à mon sujet. Mais d’un côté, je ne lui en voulais pas, qui ne ferait pas tout pour ses propres intérêts ! Des gens bien probablement, mais il en existe si peu que l’on à peine à croire qu’il y en a en ce monde. Je vivais avec Céline une relation beaucoup trop fusionnelle pour qu’elle en soit intense. De la retrouver aujourd’hui était presque comme retrouver les mamelles d’une mère perdue.

Le soir, le moment aussi bien attendu que redouté arriva, Le Général rentrait dans ses quartiers, et me trouva là assis au coté de sa fille. Sa réaction fut assez inattendue. Il m’accueillit avec presque dirais-je de la bonne humeur, il me serra la main généreusement, et m’invita sans méfiance à prendre part à leur dîner. Peut être avait-il appris la triste nouvelle de mon pays déchu, ma terre brûlée, souillée par des gens mal intentionnés, et à cause ou grâce à cela il m’accueillait chez lui comme un ami, et même presque comme un fils. Pendant ce repas qui ne manqua pas d’être copieux, Guerhart ( j’appris vite son nom, car il était si souvent appelé général à son travail pour qu’en plus, je l’appelle de même, il me confia donc son nom ) me questionna sur ma situation, qui fut assez brève à résumer. Je n’en avait pas. Il me proposa de m’héberger dans son « palace », et même ( ce qui me ravit ) il m‘offrit un travail : j’étais à présent le Lieutenant Officier Sid Meiers ! Cette nouvelle qui pour moi était grande, l’était un peu moins pour Céline qui me voyait déjà partir le matin en compagnie de son père et ne revenir que tard le soir, elle se voyait seule sans travail, sans compagnie. La nuit passer en ma compagnie lui fit oublier toutes ces idées.

Le lendemain matin comme prévu, je parti avec Guerhart au poste avancé de commandement des flottes Républicaines, comme l’avait tant redouté Céline. Mais une chose n’était pas exacte dans ses pensées, elle aussi suivait des études ( dans une filière totalement différente de la mienne ), et approchait à grand pas d’un futur métier. Mais au fil des jours, au fil des mois, Céline devint de plus en plus fermée, elle m’ignora totalement, elle me laissa tous simplement tomber dans mon espoir de grand amour avec elle. Mais son amour pour moi n’était qu’apparent, elle succomba donc vite aux charmes d’un autre. Je me retranchai alors entièrement dans ma carrière militaire, dans laquelle je gravis les échelons à une vitesse folle. Et pour rajouter encore plus de distance entre Céline et moi, je pris un appartement non loin de mon ancien logis, pour pouvoir profiter du transport que mettait à ma disposition Guerhart. Je travaillai toujours en sa compagnie. Mais ma place étant de plus en plus importante au sein de l’armée, que l’on m’attribua une mission commando au coeur d’une zone Barbare....


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MessageSujet: Re: Sid meiers, toute une vie ....   Sid meiers, toute une vie .... Icon_minitimeSam 12 Mar - 0:43

[Hrp] Dsl mon histoire ne contient pas en un seul message, ce n'est en aucun cas du flood ... [/hrp]

Origines:

Notre famille, qui aujourd'hui à pour nom "Meiers", à toujours depuis sa naissance dans les terres enneigées de l'est, pronée l'égalité et la Justice, mais hélas ces idiaux ont parfois bien du mal à persistés dans nos rangs, jusqu'à même quelques fois disparaitre totalement de notre esprit. A travers toutes les contrées que nous avons pu croisées, les obstacles que nous avons franchis, une chose ne c'est pas interrompu dans les codes moraux de chacun, le Courage. Bien des gens considère à ce jour, le courage comme un sacrifice ou encore une preuve de bonne éducation, mais chez le courage est un devoir, que chaque père qui à pris la tête de la famille s'efforcait de proner. Tout cela à commencer avec le premier de notre famille !

Le premier ne protait pas de nom, il était un chef barbare dans les plaines du nord, la ou les bète donne de la viande pour une semaine, la ou les gens meurent de froid en une heure a peinne, il avaait survécu à cela, et avait combattu la menace barbare, qui a juré de détruire un jour notre famille. Le plus haut fait qu'il n'ai jamais effectué lui a valu la mort, mais aussi la reconnaissance de tous les siens, c'était lors de l'invasion de la grande cité Kosa Saag, une cité reconnu par par sa manifissance et sa beauté, elle était juchée sur une lègère montagne, mais malheureusement d'être magnifique n'a pas que des bons cote car elle était enviées des toutes les regions du nord et de l'est. Jusqu'au jour ou l'envie d'un seigneur dépassa les pensées et les mots. Il l'attaqua et la pris par la force, mais un groupe de guerriers persistés à vouloirs la protéger, groupa dans lequelle se trouvait le premier. Tous ensemble ils combattèrent, mais la puissance enemis était t'elle qu'il n'avait aucune chance de pouvoir espèrer les vaincre. Alors Le premier monta le plus haut possible et lorsque ses enemis se trouvait à ses pieds il se tua. Depuis se jour il eu nom, on le surnomais " Le Meilleur"

Pendant ce tragique mais héroique épisode de Kosa Saag le reste de la famille c'était réfugié dans les collines qui se trouvaient un peu plus au sud de la ville. Dans les rescapé se truovait celui qui deviendrait le prochain "Père de famille", Arko Meiller. Lui s'éforca pendant toutes sa vie, qui fut d'ailleur fort longue de reconstruire la famille, la civilisé également et établir un système d'enseignement des plus gens auprés des erudits du groupe. On pu dire que sa vie fut un long fleuve tranquille, car caché pendant prêt de cent ans Notre famille n'existé pas aux yeux du monde, ce qui nous a valu de bon fondement moraux et physiques. Puis il donna naissance par une chaude nuit d'été à un garçon qu'il appella Zargo Meiler.

Zargo, lorsqu'il étint l'age de raison, l'age ou les ancienlui donné les plein pouvoirs décida de ne plus se cacher au monde, il voulait que sa famille soit fier d'elle, que tout le monde la reconnaisse en tant que t'elle. Il ordonna alors la migration vers l'est de tous, ce que bien sur tout le monde fit vu qu'il avait les pleins pouvoirs en ce concernait les décisions de notre gloirieuse famille ! L'exode, comme tout le monde l'appelait dura pendant une dizaine d'année, au cour de laquelle il recontrèrent mille et ues créature, des peuples mystérieux, ce qui ne manqua pas d'enrichir les connaissance générale, chaque "Meiler" tirait tout se qu'il pouvait de la moindre chose. L'exode se termina par la mort de Zargo, il tomba dans un nid d'Hijk, se qui fut fatal pour lui, c'est que la veille de sa mort il avait mis en seinte sa femme d'un petit garcon, qui s'apelera plus tard Fionj Meier.

Fionj vecu toute sa vie dans le doute l'incertitude et la crainte, et il y avait de quoi car il n'était pas capble de diriger un troupeau de mouton en tre deux paturages, alors comme me dirais vous, comment aurait t'il pu être capable de mener à bien la famille, de la faire marcher correctement. En effet il ne pu pas, alors le long de sa vie il fit sombrer la famille dans une misère atroce, ainsi qu'un niveu instruction trop faible pour penser aux choses élémentaire de la vie. Mais il en était ainsi jamais un Meier n'avais était défait de son post sans son consentement, et maleureusement pour tous lui ne voulaitpa quitter sa soit disante gloire, en lui il pronait la gloire d'hier alors qu'il vivait la misère d'aujourd'hui. Il fut assassiné par un membres de la famille devenu aprés trente ans de vie à l'état bestial. Ce qui fut tous à mon honuer puisque c'est à ce moment là que je pris enfin la tête de la famille, je me nomait Sid Meiers.

Ma mère ainsi que mon père avait garder caché chez eux un manuel dans lequelle était inscrit tous les hauts des grand hommes de la famille, cela nous permi sans doute de ne pas dérogé à notre devoir de justice, et de ce fait n'a pas affecté nos capacitées intelectuelles l"gendaire d'autrefois . Je voulais une famille posée, stable et vivant dans le bien être, je les conduisit donc dans une région que j'ai appelé aujourd'hui mon " La meiers", c'était une valle avec un lac en son fond, nous y trouvions tous les neccéssaire pour vivre en paix et sans le besoin La famille avait enfin repris le droit chemin .
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MessageSujet: Re: Sid meiers, toute une vie ....   Sid meiers, toute une vie .... Icon_minitimeJeu 26 Mai - 22:22

Background de mon peuple Smile


Sous leur apparence réelle, les Autres ressemblent à s'y méprendre aux anciens démons des religions indo-européennes : peau écailleuse, cornes, queue fourchue, traits de gargouilles etc.… ce sont des reptiles à sang chaud et les représentants d'autres races ont des difficultés à différencier mâles et femelles. Les Autres se nomment eux-mêmes les Alaréens ce qui signifie approximativement dans leur langue "le peuple qui pense".

Dés leur éclosion, les jeunes Alaréens disposent de pouvoirs psioniques élémentaires qui croissent rapidement. La société Alaréenne considère l'individu comme adulte à partir du moment ou il atteint un certain seuil psionique (= une caractéristique PSI de 5 ou plus) et la longévité moyenne d'un Autre est de 250 ans. Certains individus exceptionnels dépassent les trois siècles et il existe même une demi-douzaine de vénérables anciens qui approchent des quatre cent ans.

Tous les Alaréens sont naturellement psioniques et leurs pouvoirs très nettement au dessus des normes humaines. Les Autres n'ont pas de religion ou l'ont perdue depuis bien longtemps. Ils se considèrent comme une espèce à part car toute entière tournée vers les mystères de l'âme et de l'esprit. Le fait que leur peuple soit intégralement psi a très certainement contribué à cette évolution. Les Autres ou Alaréens sont une des races les plus anciennes de la frange galactique. Il y a des dizaines de milliers d'années, leur race aventureuse s'était lancée dans l'exploration interstellaire. Néanmoins, philosophes, métaphysiciens et psychologues furent et sont encore les piliers de la culture des Autres.

Il y a plusieurs centaines de milliers d'années, ils sont parvenus à découvrir certains facteurs à l'origine de la sapience et durant la phase exploratrice de leur race, ils ont "ensemencé" le patrimoine génétique de plusieurs espèces prometteuses encore animales. Par la suite, leur culture à continué à se replier sur elle-même et ils ont fini par abandonner pendant des siècles les voyages spatiaux en dehors d'une sphère d'influence réduite. Il y a moins de mille ans qu'ils se sont à nouveau tournés vers l'extérieur et ont repris contact avec d'autres races, certaines ignorant d'ailleurs qu'elles leur doivent l'intelligence.

La civilisation des autres est très structurée tout en étant communautaire et décentralisée. Les individus sont classés selon leurs aptitudes professionnelles mais surtout psioniques et forment des castes simples (militaires, concepteurs, médecins, artistes…). Il est tout à fait possible d'appartenir à plusieurs castes à tour de rôle ou simultanément. Les Alaréens vivent en groupes de tailles diverses généralement organisés de manière communautaire en fonction des spécificités locales. L'appartenance à un Groupe est plus importante que l'appartenance à une Caste même si celle-ci peut déterminer le rôle au sein du groupe. Civilisation psionique, les Alaréens privilégient en effet la notion de collectivité et de groupe. Quant on peut partager les pensées des autres, des notions comme la vie privée, l'individualisme, la solitude ou la marginalité sont relatives bien que tous ces phénomènes soient présents dans la civilisation Alaréens.

Bien que les groupes soient dirigés par des chefs, la plupart fonctionnent selon le principe d'assemblée consultative qui mandate certains individus comme porte-parole ou experts dans un domaine donné. Cette organisation se retrouve au niveau familial, de la cité, de la planète ou de l'équipage d'un vaisseau. Il est tout à fait possible d'appartenir à un Groupe lui-même intégré dans un ensemble plus vaste ou au contraire de vouer son existence à une collectivité plus abstraite (par exemple : le gouvernement planétaire) tout en étant membre d'une structure familiale ou géographique plus spécifique.
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MessageSujet: Re: Sid meiers, toute une vie ....   Sid meiers, toute une vie .... Icon_minitime

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